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2005 | Brésil héros

 
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Jimmy Braun
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MessagePosté le: 13 Jan 2005 2:28    Sujet du message: 2005 | Brésil héros Répondre en citant

Quatorze ans déjà que la France se consacre chaque année à un pays pour une saison culturelle, et bien qu’il serait difficile d’en faire la liste pour bon nombre d’entre nous, cette nouvelle année risque de ne pas se faire oublier. Après la Chine en 2004, nous avons le plaisir d’accueillir en 2005 : le Brésil. Voici un petit coup de projecteur sur cette saison culturelle de l’Année du Brésil en France, intitulée « Brésil, Brésils ».

Le Brésil

« Brésil » un nom qui a fait fantasmer et continue de faire rêver des générations de passionnés de musiques du monde. Il n’y a qu’à regarder le nombre grandissant des ensembles de Batucada ou des cours de Capoeira depuis la dernière décennie, ou les danses de salon ayant bercées des générations, entre samba (1), maxixe (2) et bossa nova (3). Malheureusement, ce n’est pas donné à tous de pouvoir se rendre dans ce pays du rythme, véritable berceau de nombreux styles musicaux et de danses populaires. Avec huit millions de kilomètres carrés découpés en 26 états, le Brésil regorge de diversités. C’est le plus grand État du d'Amérique du Sud en recouvrant près de la moitié de sa superficie. De Porto Allegre à Rio Bravo, en passant par Manau et Salvador de Bahia, les quatre coins du Brésil sont l’occasion de traditions locales, qui sont principalement les résultantes d’un métissage des branches culturelles amérindiennes, ibériques et africaines.

Colonisé à partir du XVIème siècle, le Brésil a vu l’évaporation presque totale de sa culture amérindienne, soumise à l’esclavage et décimée par les Portugais au moment de sa conquête, « […] la population amérindienne du Brésil connaît aujourd’hui une reprises démographique globale. Cependant certaines ethnies sont toujours menacées d’extinction. » (4). Selon de nombreuses sources, on attribue la découverte du Brésil au navigateur portugais Pedro Alvares Cabral en 1500. A l’arrivée des colons, le Brésil est alors peuplé d'Indiens vivants de la chasse, de la pêche et de la cueillette. Les tentatives de colonisation encouragèrent la France (1532-1560), et la Hollande (1624-1654) à s’y installer, mais en vain. Les aspects ethno-historiques ont vraisemblablement été extrêmement différents sur toutes les régions du Brésil, néanmoins avec une prédominance de la culture portugaise. De cette période de colonisation à la création de l’Empire Brésilien en 1822, sous Pierre 1er (Dom Pedro), l’appel de la main d’œuvre d’esclaves est principalement d’origine indienne jusqu’à son abolition en 1875. On remplace alors cette dernière par de la main d’oeuvre africaine provenant principalement d’Angola (la traite des esclaves noirs a touché prés de 3 millions et demi d’humains), jusqu’à la tortueuse abolition de l’esclavage à partir de 1888.

« A felicidade é algo que se multiplica quando se divide. » (5)

La modification des caractéristiques ethniques du Brésil au contact d'autres types de civilisations a amené un jeu complexe de ses influences musicales - principalement indiennes, africaines et portugaises. Le Brésil a su conserver ses traditions et permis à ses musiciens de créer des genres totalement nouveaux. Grâce à l’Année du Brésil, cette richesse culturelle est donc l’objet d’une alliance particulière entre de nombreux acteurs du spectacle brésiliens et français. Le milieu artistique brésilien bouillonne depuis l’ouverture de ce projet, et la course a placé de nombreux artistes sur liste d’attente. Avec des centaines de spectacles et événements culturels programmés pour "l'Année du Brésil en France" en 2005, « cet hommage sera la plus grande manifestation culturelle brésilienne à l'étranger », a annoncé le ministre de la Culture brésilien, le chanteur et compositeur Gilberto Gil. Et ce n’est pas un hasard, si ce pays a un ministre avant tout artiste, surtout lorsque l’on regarde de façon générale l’actif et l’implication des artistes brésiliens au sein de leur société. Ces derniers s’investissent dans des projets qui visent à délacer les problèmes liés aux inégalités sociales, principalement par le biais de la musique et de la danse.

Pour ce qui est des événements d’envergure, le calendrier des principales manifestations inclura spécialement un grand concert à Paris avec six chanteurs célèbres, dont Gilberto Gil et Caetano Veloso, mais aussi une grande exposition d'art indigène et la visite du président Luiz Inacio « Lula » da Silva. Lula, comme il est surnommé – qui est le premier président socialiste du Brésil depuis le 27 octobre 2002 – participera aux commémorations officielles du 14 juillet 2005 en tant qu'invité spécial du Président français Jacques Chirac.


Les manifestations

"Montrer le Brésil dans sa modernité et toute sa diversité", est l'objectif des divers événements culturels qui se dérouleront de mars à décembre 2005 sous le nom "un Brésil, des Brésils", a déclaré l’un des organisateurs, André Midani (Commissaire Général au Brésil).

« En tout il y a 700 projets en commun dont 200 officiels. On à l’idée de faire un « in » et un « off », comme pour le Festival d’Avignon. » ; « La saison culturelle sera sous le double signe de la modernité et de la diversité du Brésil, deux axes fondamentaux qui président aux choix de programmation dans toutes les disciplines artistiques. La musique en particulier a pris une grande importance à l’époque de la dictature car c’était le mode d’expression qui échappait à la censure. Nous avons répertorié pas moins de huit styles musicaux différents qui seront tous représentés. » (6), cite Jean Gautier, le Président du Commissariat Français de l’Année du Brésil en France.

Le carnaval brésilien – moment extrêmement fort de ce partenariat – sera représenté en France dans ce qu'il a de plus moderne, par le chanteur-compositeur Carlinhos Brown, qui promènera en été son "trio eléctrico" (avec un énorme camion muni de haut-parleurs) dans les rues de Nice et de Cannes entre autres. De juin à septembre, à Paris, sera installé l"Espace Brésil" sur le Carreau du Temple, un pavillon d'expositions de 2.400 m². Dans la Galerie Richelieu, aura lieu une grande exposition du célèbre photographe Sebastiao Salgado. "La France a choisi le Brésil pour célébrer l'amitié qui existe entre les deux pays, caractérisée par une coopération politique, économique et culturelle denses. Nous partageons une même vision d'un monde bipolaire", a déclaré l'ambassadeur de France au Brésil, Jean de Gliniasty. (sources AFP, 9 novembre 2004). Le président Jacques Chirac soutient de nombreuses initiatives du gouvernement Lula, dont son programme d'éradication de la faim, "Fome Zero" (Faim Zéro), tout comme son aspiration à obtenir un siège permanent au sein du conseil de sécurité de l'ONU.

Déclinée en trois temps, « Brésil, Brésils » présentera des centaines de manifestations. « Elle ouvrira en mars sur la thématique « Raízes do Brasil » (Les racines du Brésil), titre emprunté à l’œuvre maîtresse de Sérgio Buarque de Holanda (1902-1982). Ce premier axe de réflexion offrira une exploration des racines, un kaléidoscope de l’âme brésilienne, du « Brésil indien » au Grand Palais, en passant par les sources africaines présentées au Musée Dapper ou la musique qui fera l’objet d’une investigation passionnée à la Cité de la Musique. Pour l’été, « Verdade tropical » (Vérité tropicale), expression empruntée au brillant essai de Caetano Veloso, cherchera à montrer cette vérité dans toutes ses manifestations. Dans la rue, avec la présence en France de ces grandes plateformes mobiles des carnavals que sont les « trios elétricos », en plein air avec une série de concerts. Dans la nature, avec le Parc de Bagatelle mais aussi avec des événements comme la première exposition en France de Tarsila do Amaral, cette femme peintre à la recherche, dans les années 20, d’une modernité tropicale. Enfin, à l’automne, le thème « Galáxias » (Galaxies), en référence au texte du poète, traducteur et expérimentateur Haraldo de Campos (1929-2003), illustrera l’explosion du Brésil sur les scènes contemporaines de la danse, du théâtre et des arts plastiques. De Bruno Beltrão à Ernesto Neto en passant par Marepe et Enrique Diaz, un Brésil inattendu sera dévoilé. » (7)

Octobre 2004 à Rio de Janeiro

Malgré un budget annoncé de vingt millions de dollars, qui aurait été consacré à l'Année du Brésil en France (financé par des industriels et les gouvernements des deux pays), le carioca (l’habitant de Rio) à qui vous demandez s’il a entendu parler de cet événement vous répondra : “ O qué ? ” (c’est quoi ?). Voilà la réponse la plus fréquente quand on demande (même en brésilien) s’ils savent ce que c’est « l’Année du Brésil en France ». Pourtant, les brésiliens, comptent parmi les plus francophiles d’Amérique latine, et adorent notre culture, notre “savoir-vivre”, notre état d’esprit (et pour ceux qui y ont goûté, notre cuisine). Les principales personnes concernées par cet événement pour l’instant, sont les artistes brésiliens et les acteurs culturels et économiques. De nombreux artistes préparent leur sélection depuis plusieurs mois (l’Année du Brésil est annoncée depuis avril 2001), afin de venir participer à une création ou à un spectacle en France, et se faire connaître. Dans les deux pays, les agences de Voyages qui accueillent les touristes et autres hôtels et restaurants devraient avoir du pain sur la planche … .

L’école de Samba

Mais, tout le monde y va ? Les jeunes ne vont pas en boite ? C’est pas dangereux au moins ? Mais c’est quoi exactement une école de samba ?”. Voilà les premières interrogations de français rencontrés sur la plage à Rio de Janeiro. Pour commencer à comprendre cet état d’esprit, il faut une explication (rapide, c’est promis) sur le carnaval. En fait, c’est certainement « la » chose la plus organisée à Rio de Janeiro. Pendant deux nuits, il y a un “championnat” de carnaval. “ Hein ? Comment ça un championnat ? J’comprends pas …”. En fait, les écoles de samba (Escola de Samba), “s’affrontent” l’une après l’autre pour être le vainqueur du championnat et être l’école phare durant une année. Des juges parcourent le sambodrome et fixent des notes aux écoles, en se préoccupant de plusieurs critères comme la qualité musicale des batteries (batucada), des costumes (il ne faut pas que deux costumes différents se mélangent), du nombre de char et de leur construction, etc.

Mais pour arriver à ce superbe réglage entre danse, musique et défilé, il faut de nombreuses répétitions et c’est alors que tous les samedis depuis le mois d’août, certaines écoles de samba ouvrent leurs portes. Tout comme l’école « Unidos de Tijuca », dans laquelle nous avons été invité, on remarque l’enthousiasme et la conviction de chacun. Il est 23h45, et nous commençons à nous habituer aux lieux, à la chaleur de la large scène où se trouvent déjà de nombreux musiciens. Au fur et à mesure, les brésiliens arrivent, montent sur l’estrade ou restent spectateurs dans cette grande salle de répétition. Minuit, nous fermons les yeux quand nous entendons les premiers bruits de cloches agogô, de cuica, de pandeiro ou de surdo (contra-surdo). Tout à coup, un résonnement se faufile dans nos coeurs et nos corps, la vibration de plus de 200 personnes commençant à jouer des percussions nous envahie. Quelques minutes plus tard les airs de musique arrivent et un chanteur reprend sur la scène les chansons de samba des années précédentes (comme pour se remettre dans le même état d’esprit de fête). Chaque année un nouveau thème et une nouvelle danse de samba voient le jour. Les brésiliens restés sur l’espace central se manifestent et dès les premiers sons c’est parti pour quatre à cinq heures de folie. Avec un déhanchement extraordinaire, des hommes et des femmes de tous âges et de tous bords s’empressent de danser sur la piste (Tout le monde, ou presque, connaît son rôle et ses pas). Quelques heures plus tard, nous sortons un peu sourd mais ravis, avec des images plein la tête, quelques pas de danses à réviser, de nouveaux amis brésiliens et une invitation pour la semaine suivante. Cette façon de faire la fête est d’après certains cariocas, le moyen de loin le plus efficace pour oublier le quotidien de Rio de Janeiro parfois trop difficile à vivre.

Musique et politique

« Bercée par le son des vagues qui lèchent la plage, je sirote une caipirinha (8) dans un petit bar, et soudain retentissent des tambours, des sifflets et le samba arrivent à mes oreilles ... Mais que se passe-t-il ? Me serais-je trompé de mois, serions-nous déjà à carnaval ? Est-ce que c’est une répétition en plein air ? Mais pourquoi sont-ils tous en rouge ? ». C’est ainsi que le dernier week-end d’octobre 2004, il était possible de découvrir des brésiliens faisant la campagne électorale, pour des élections municipales.

« J’avais déjà pu le constater avec l’élection du Président Lula en 2002, mais cette fois c’est bien étrange … On fait la fête avant les élections ? ». En fait les élections (municipales) se passent toujours ainsi. Pour encourager son candidat préféré (pour résumer ; le rouge de la gauche et le jaune de la droite), on fait la fête dans la rue, et tout se transforme en un vrai défilé de carnaval, avec des slogans et des musiques en l’honneur du candidat soutenu. Afin d’attirer le plus grand nombre et faire pencher les indécis (Ici le vote est obligatoire. Devrions nous en prendre de la graine ?). Il s’agit donc, à chaque fois que le feu passe au rouge, d’envahir la rue et de danser, chanter et militer pour son candidat (en l’occurrence cette fois-ci la gauche). Seulement voilà, quand un camion rempli de jeunes « jaunes » débarque au bout de la rue, il est préférable de commencer à chercher un endroit vite fait où on peut se mettre en sécurité. A coup sûr, ça va dégénérer, le camion va être renversé par les mouvements de foules, et il risque d’y avoir des morts, comme par habitude malheureusement. La bataille commence avec celui qui mettra la musique le plus fort et à celles et ceux qui danseront le mieux. Pas de morts, ni de blessés pour cette fois, heureusement. Le jour suivant, déception pour nos amis rencontrés la veille, le rouge a perdu, mais ce n’est pas grave, on va aller voir chez nos voisins jaunes, car ils doivent bien avoir une bière fraîche pour nous.

Brève histoire du carnaval brésilien

Le carnaval a commencé au Brésil vers 1840 sous diverses formes (souvent selon l’appartenance sociale), mais principalement avec le "entrudo" (du mot « introitus », entrée). C’était un divertissement introduit par les portugais, qui consistait à jeter de l’eau et de la farine aux personnes qui passaient dans la rue. En 1854, à Rio de Janeiro, un congrès a eu lieu pour discuter des inconvénients de ce "entrudo". Cependant, l’année suivante, l’empereur du Brésil, D. Pedro II a participé au carnaval, ce qui a permis son développement, sa reconnaissance et son utilité sociale. L’épicentre du carnaval, Rio de Janeiro, ne patronnera officiellement l’organisation du carnaval qu’à partir de 1899, l’année où la fameuse marche « O abre alas » de Chiquinha Gonzaga ouvre le carnaval (l’esclavage n’est abolit que depuis onze années). Pour ce qui est de la mascotte du carnaval, la figure symbolique du roi du carnaval a été crée en 1932. A la base c’était un bonhomme en carton nommée le "Roi Momo" (dont les origines viendraient de la mythologie grecque). L’année suivante, M. F. M. Cardoso, pesant 120 kilogrammes, a représenté le Roi Momo, et depuis ce roi est toujours traditionnellement un homme gros et sympathique. Les écoles de samba (Escola de Samba) préparent les danseurs et organisent les défilés de carnaval tout au long de l’année. La samba, danse et musique brésilienne d’origine afro-brésilienne, est la musique dominante pendant le carnaval, et le tambour en est le principal instrument. Pour l’anecdote, la "frigideira" (poêle/sauteuse) a été introduite comme instrument à percussion à Rio de Janeiro en 1948. Le carnaval actuel comprend principalement trois styles chorégraphiques : la « samba », le « frevo » et le « maracatu ». Le "frevo", né au début du 20ème siècle d’une transformation d’une marche-polka, est une danse typique de l’état de Permanbuco ; le "maracatu" est la danse typique de la ville de Recife au Permanbuco. Plus contemporain et de plus en plus présent, le "trio elétrico" est constitué d’un groupe de musiciens qui joue de la guitare électrique avec des amplificateurs puissants et transporté sur un camion. Selon plusieurs sources, le premier "trio elétrico" est apparu à Salvador de Bahia, dans le Nordeste du Brésil.

Au rayon Brésil

Pour approfondir le sujet et être prêt pour l’Année du Brésil, vous trouverez ici une sélection d’articles liés.

Disques, Livres et Vidéo (méthodes)



Instruments du Brésil



Artistes percussionnistes brésiliens




© Jimmy Braun - Janvier 2005


Remerciements particuliers à Sarah ZENTNER pour son aide précieuse.


(1) Samba n.f. ; parfois masculin (mot brésilien) : Danse et musique brésiliennes d’origine afro-brésilienne. La grande popularité de cette danse et musique, a fait naître de très nombreuses variantes (samba de morro, samba de roda, samba de enredo, etc.) depuis le début du 20ème siècle.
(2) Maxixe n.f. (mot brésilien) : Danse urbaine de Rio de Janeiro, née à la fin du 19ème siècle.
(3) Bossa nova n.f. (mot brésilien ; littéralement « nouvelle vague ») : Style musical moderne né à Rio de Janeiro dans les années cinquante.
(4) Extraits : Dossier « Brésil, pays en devenir », (p.12 ; p.18/19), TDC N°885, 1er décembre 2004.
(5) Proverbe brésilien : « Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise »
(6) Candomblé n.m. (mot brésilien d’origine Yoruba. Surtout présent à Salvador de Bahia) : Nom d’une cérémonie publique et d’un culte de possession d’origine afro-brésilienne. Le culte du candomblé est une religion médiumnique, dans laquelle les initiés reçoivent, au cours de rituels magico-religieux rythmés par des tambours, les esprits surnaturels qui forment le panthéon spécifique du système symbolique auquel ils ont adhéré. Le candomblé est un des cultes du sol brésilien, avec l’umbanda, le macumba, etc.
(7) http://www.bresilbresils.org
(8) Caipirinha n.f. (mot brésilien) : Cocktail brésilien préparé à base de sucre de canne, de citron vert et de cachaça (eau de vie brésilienne).


Sources et éléments bibliographiques

. AFP, Communiqué du 08.11.2004 | 21h01.
. BASTIDE Roger, Les Religion africaines au Brésil. Paris ; PUF 1960 (réédition 1995).
. BEHAGUE Gérard, « Musiques du Brésil », Ed.Cité de la Musique / Acte Sud (1999) | ISBN 2-7427-3507-0.
. BOURS Etienne, « Dictionnaire thématique des musiques du monde », Ed.Fayard. 2002. ISBN 2-213-61415-6.
. DICTIONNAIRE « Le Petit Larousse Illustré » (2002).
. TDC [CNDP-CRDP],« Brésil, pays en devenir », Bimensuel Thématique, N°885, 01/12/2004. ISSN 0395-6601.
. ZENTNER Sarah, Retour du Brésil 2004. Textes personnels. Rio de Janeiro (br.) ; Belfort (fr.).
. http://www.bresilbresils.org [Site Internet Officiel de l’Année du Brésil]
. Illustration(s) du texte : Photographie; 1ère de couverture du disque de "Raizes de Arcoverde" (samba de coco) - ob22231-160 | Label Outro. Brasil




Sites Internet divers sur le Brésil

http://www.bresil.org [Ambassade du Brésil en France]

http://www.bresilpassion.com

http://www.bresilbresils.org

http://www.aobrasil.com

http://www.infosbresil.org


Samba, batucada

http://sambistas.online.fr/en-france/indexFr.php

http://www.percuterreux.com

http://www.batucada-nana.com

http://www.ensbatucada.com/accueil.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Batucada

Candomblé

http://www4.sul.com.br/orixa

http://www.brasilfolclore.hpg.ig.com.br/candomble.htm

http://www.bahia-online.net/Candomble.htm

http://www.pierreverger.org/fr/pierre_verger/pesquisas_candomble.htm

Macumba

http://www.macumba.de

http://religiousmovements.lib.virginia.edu/nrms/macu.html

Bossa nova

http://www.bossanovaguitar.com

Capoeira

http://www.capoeira-france.com

http://www.capoeiraquebec.org

http://www.capoeira.com

http://www.capoeiraarts.com


Description : (c) Label Outro Brasil "Raizes de Arcoverde" (Samba de Coco)
(c) Label Outro Brasil
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