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Jimmy B


Inscrit le: 12 May 2002 Messages: 2687 Localisation: France
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Post� le: 23 Apr 2003 11:42 Sujet du message: Dominique � Mino � Cinelu |
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Dominique "Mino" Cinelu [10.03.1957 /Saint-Cloud (Fr.)]
Percussionniste, bassiste, guitariste, clavi�riste, fl�tiste, chanteur, compositeur, arrangeur et producteur.
� Mon instrument c�est la musique � Mino Cinelu
1957 : N� d�une famille d'origine martiniquaise, Mino Cinelu a un p�re chanteur et deux fr�res musiciens (Patrice, guitariste et Jean-Jacques, bassiste), il baigne dans la musique d�s son enfance, et ne tra�ne pas pour faire ses d�buts professionnels d�s l��ge de 14 ans (apr�s avoir jouer aussi dans le m�tro parisien).
Pendant les ann�es 70, on le per�oit dans une multitude de formations, accompagnant aussi bien des chanteurs (Bernard Lavillier ou Colette Magny, Toto Bissainthe) ou bien dans des formations comme le quartet Perception, Chute Libre ou Moravagine.
Il travaille de plus en plus dans le milieu du jazz et collabore avec Michel Portal, Bernard Lubat et Fran�ois Jeanneau.
1979 : Il s�installe � New York o� il se fait remarquer par le trompettiste Miles Davis lors d�un concert au Mikell�s avec le groupe Frank and Cindy Jordan.
1981 : Il accompagne et collabore avec Miles Davis sur l�album live �We want Miles !� puis encha�nera sur d�autres enregistrements avec ce dieu du jazz .
1984 : Remarqu� par Joe Zawinul, Mino Cinelu devient membre du groupe Weather Report.
Mino Cinelu multiplie les rencontres et participe � de nombreuses Jam-Sessions de New York et d'ailleurs; Il dit d'ailleurs : � j�ai un c�t� gitan, j�ai besoin d�apprendre et de rencontres� pour apprendre, il faut rencontrer les gens, et c�est impossible en restant au m�me endroit �*
Il fonde un trio de batterie avec Fabiano et Victor Jones, travaille avec Darryl Jones et Omar Hakim en trio.
Mino Cinelu enregistre et collabore en particulier avec Dizzy Gillespie, Peter Gabriel, Sting, Lou Reed, Herbie Hancock, Michel Portal, Bernard Lubat, Jimmy Ponder, Pino Daniele, David Sanborn, Gato Barbieri, Victor Bailey, Kenny Barron (en duo) , DJ Logic (The anomaly), Jacky Terrasson (What it is).
1999 : Mino Cinelu produit son premier album solo intitul� � Mino Cinelu � et pr�sente l�artiste dans sa version poly-instrumentiste et chanteur o� il met en avant sa culture d�origine, le cr�ole.
2002 : Deuxi�me album solo de Mino Cinelu, "Quest Journey".
2003 : Travaille avec Bernard Lavilliers sur un projet de duo intitul� "Jungles". Tourn�e et album pr�vu pour l'automne 2004.
Musicien poly-instrumentiste mais percussionniste avant toute chose, il fait partie de la trempe des virtuoses tous styles confondus.
� 2003/2004 Jimmy Braun
El�ment(s) Discographique(s) & Filmographique(s)
Miles Davis - We want Miles live 1981 - 1982
Weather Report - Sportin' Life - 1985
Weather Report - This is this - 1986
Miles Davis - Star People - 1983
Michel Portal - Turbulence - 1987
Sting - Nothing like the sun � 1987
World Trio - Mino Cinelu/Kevin Eubanks/Dave Holland � 1995
Kenny Barron / Mino Cinelu - Swamp Sally - 1995
Mino Cinelu - Mino Cinelu - 1999
Jacky Terrasson � What it is - 1999
Michel Portal � Burundi � 2000
DJ Logic � The Anomaly - 2001
Mino Cinelu - Quest Journey � 2002
This Is Our Music - Digipack DVD ; Salif Keita, Mino Cinelu, Akosh S , Natalia M. King, Lokua Kanza, Daniel Mille, Marcio Raraco, G�rard Curbillon / Live Elys�e Montmartre F�te de la Musique 2002 - 2003
Site(s) Internet :
Site officiel de l'artiste
Voir cet article en format .pdf : http://percussions.org/pdf.php?t=1316 |
Description : Mino Cinelu (c) H�l�ne Collon
Vu : 2147 fois - Taille du fichier : 18.8 Ko
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Derni�re �dition par Jimmy B le 07 Aug 2008 15:38, �dit� 9 fois en tout |
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Fran�ois Kokelaere


Inscrit le: 24 May 2002 Messages: 331 Localisation: Plan�te Terre
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Post� le: 19 May 2003 19:00 Sujet du message: |
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Annexe(s) : Interview de Mino Cinelu
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www.jazzcaen.com - propos recueillis le 12 mars 2000 par S. Barthod a �crit: | Il serait plus rapide de citer les musiciens qu'il n'a pas cotoy� que ceux avec qui il a jou�. En effet, de Miles Davis � Weather Report, de Michel Portal � Dizzy Gillespie, mais �galement Sting, Colette Magny, Peter Gabriel, Bernard Lubat, Pat Metheny, Bernard Lavillier et beaucoup d'autres, la liste �voque un gigantesque "inventaire � la Pr�vert".
Et le hasard n'est pour rien dans ces rencontres.
Il jouait avec son groupe (Etienne Mbapp� � la basse, Mitch Stein aux guitares et le DJ Joe Clausell) le 12 mars � la Luciole (Alen�on).
Une bonne occasion de revenir sur des moments-cl�s de son parcours, de d�couvrir sa vision de la musique en g�n�ral et des percusssions en particulier.
Portrait d'un musicien en qu�te permanente...
En plus de l'interview, vous trouverez la biographie et une discographie s�lective de Mino Cinelu.
Tu es n� � Saint-Cloud et tu vis � New York, c�est une sacr�e ballade, non ?
J�ai fait beaucoup de voyages� voyage dans les Antilles � 7 ans, onze jours de travers�e en mer, j�ai v�cu un an en Angleterre, je suis revenu, mis le cap aux Antilles, grandi en France, et j�ai beaucoup voyag� en Europe avant de partir aux �tats-Unis ; j�ai un c�t� gitan, j�ai besoin d�apprendre et de rencontres� pour apprendre, il faut rencontrer les gens, et c�est impossible en restant au m�me endroit. C�est comme le jeu de la fl�chette : on part o� la fl�chette arrive. Moi j�ai dit � le prochain groupe qui m�appelle et qui part, je les suis, o� que ce soit �. Il s�est av�r� que c��tait les �tats-Unis, et �a fait maintenant 20 ans que j�y suis.
Et justement, � New York, comment s�est pass�e la rencontre avec Miles Davis ?
J��tais le batteur d'un groupe (Franck and Cindy Jordan, NDLR) avec lequel on a jou� dans un club qui s�appelait le Mikell�s qui n�existe malheureusement plus, dans lequel beaucoup de musiciens passaient, George Benson, Chaka Khan� Et aux �tats-Unis, on est tr�s vite cat�goris� ; quand je jouais de la basse � l��glise, on croyait que je n��tais que bassiste, quand je jouais de la batterie dans les clubs de jazz, on croyait que je n��tais que batteur. Comme je me sentais un peu rouill� � la percu et que je souhaitais utiliser tous les instruments dont j�aime jouer, j�ai demand� au groupe de chercher un autre batteur. Ils l'ont trouv� une semaine avant le gig, et le destin a voulu que Miles passe ce soir-l� alors qu�il cherchait justement un percussionniste.
Il y a mille fa�ons d�aborder la percu : un traitement plus rythmique, plus coloriste, etc. Comment te situes-tu par rapport � l�instrument ?
Je n�ai pas d�a priori, mais je me souviens avoir �t� pur et dur quand j��tais tr�s jeune, jusqu�� ne plus utiliser les baguettes parce que je trouvais �a impur ! J�avais des peaux, je les montais moi-m�me, j�attendais une semaine avant que �a s�che ; je faisais des tambours et c��tait devenu une sorte de rituel. �a m�a permis d�approfondir le tambour, qui est quand m�me � la base du drum. Ensuite je me suis ouvert l�esprit, et j�ai d�couvert par exemple un instrument qui para�t aussi ridicule que le triangle, et qui pourtant, quand on entend un orchestre symphonique, arrive d�un coup au-dessus de l�harmonie, et rend la chose compl�te. �a m�a int�ress� de voir ce qu�on pouvait faire avec cet instrument d�apparence si anodine, presque pu�ril et qui m�intriguait. L�-dessus, j�ai d�velopp� un d�lire� Omar Hakim me disait que j��tais fou de faire ce truc l� devant 20 000 personnes. Mais la musique, c�est au-del� de l�instrument, c�est l�histoire qu�on raconte.
Tu n�es d�ailleurs pas qu�instrumentiste, tu es compositeur, arrangeur, producteur� Arrives-tu � �quilibrer toutes ces activit�s ?
J�essaie ! C��tait un challenge d�ailleurs dans l�album, de ne pas tout mettre dans le m�me panier. Je me suis servi de la maturit� acquise en tant que producteur pour faire une auto-critique honn�te qui a permis de mener � bien ce voyage qu�est l�album, qui est �clectique,mais avec un point de d�part et un point d�arriv�e.
Sur cet album, on retrouve le titre � Confians � que tu avais jou� avec Weather Report. Le morceau existait d�j� ou bien tu l�as compos� pour le groupe ?
Il �tait r�cent, j�avais d� le composer au d�but de mon travail avec Weather Report, mais pas sp�cialement pour le groupe. Joe (Zawinul, NDLR) a voulu �couter ma musique, il a flash� sur ce morceau et on l�a fait. C��tait assez bizarre, parce qu�il a m�me relev� les parties de clavier, et il les a rejou�es telles quelles au lieu de faire son propre truc. Je me suis retrouv� � jouer les autres instruments pour faire juste un guide, et c�est finalement rest� comme �a au mixage
Les paroles de cette chanson te racontent un peu, non ?
Rien de bien nouveau� Aznavour l�a dit dans � La boh�me �, croire en ses r�ves et continuer, essayer de le faire sans �go�sme, et de tenir, �a n�est pas toujours facile. J�ai d� bosser pour acheter mes premiers instruments, j�ai fait tous les m�tiers, j�ai fait mes premi�res tourn�es en stop, � dormir � la belle, r�veill� par la ros�e au bord de la route. C��tait mon histoire, d�autres ont suivi un parcours diff�rent. Quand on sent vraiment ce qu�on a en nous, il faut vivre sa passion, c�est tr�s important. C�est un � message � tr�s simple, tr�s basique.
Tu travailles aussi bien avec des musiciens de jazz qu�avec des chanteurs fran�ais ou anglo-saxons : Bernard Lavillier, Peter Gabriel, Sting� Y-a-t il continuit� pour toi entre les diff�rents styles ?
Il y a continuit� du fait qu�une musique est sinc�re ou non, quelle qu�elle soit, classique, jazz ou autre. Il y a des � gangsters � en classique aussi, ou en jazz, il y a de la m�diocrit� partout, mais la continuit� pour moi, c�est d�essayer de m�associer � des gens de qualit�, quelle que soit la musique, si elle est sinc�re et qu�elle me touche, �a m�int�resse. J�ai m�me pris mon pied en faisant de la Country Music, parce qu�il y a une certaine �me dans cette musique, pas la m�me que celle que j�ai rencontr� dans les �glises gospel � Harlem ou � New Jersey, mais il y a vraiment de la soul dans cette musique aussi. J�ai mis des ann�es � comprendre �a : � une �poque, je me moquais du musette, je n��tais pas tr�s respectueux vis-�-vis de gens comme Yvette Horner par exemple, qui est pourtant une sacr�e instrumentiste� on n�est pas toujours pr�t � le recevoir, peut-�tre que certains ne le recevront jamais et je ne dis pas que j�ai forc�ment raison, mais c�est une choses que j�ai compris avec la maturit�. Je ne vais pas pour autant me mettre � jouer du musette, mais je reconnais le talent de certains artiste dans cette musique comme dans le jazz ou le classique.
Je pensais � la difficult� de jouer avec des musiciens qui, eux, sont parfois enferm�s dans des styles, des � clans �
Pour moi, c�est int�ressant d�apporter autre chose qui ne devrait pas coller a priori, et par mon ouverture, leur faire �couter autre chose. Si on se conna�t un peu plus musicalement et humainement, la musique ne stagne pas, et on peut briser les styles. Avec Herbie (Hancock, NDLR), on a fait des plans de rock et de country comme de jazz. J�ai besoin de �a, c�est ma nature. Mais il y a aussi des gens qui ont trouv� leur voie dans un style plus d�fini.
suite de l'entretien >
< d�but de l'entretien
Dans ton album, tu as l�impression d�avoir pu donner plus de toi-m�me ?
Oui, quand on fait son propre projet, c�est un peu comme un b�b�, il faut que �a m�risse, qu�il naisse, grandisse, il faut s�occuper de lui, r�fl�chir : le parent id�al n�existe pas, donc on apprend avec ses erreurs, on s�autocritique et on continue. J�essaye d�aller au-del� des notes, du rythme et des accords, une musique peut �tre tr�s vite st�rile quelles que soient les connaissances qu�on croit avoir acquises, ce qu�il faut, c�est une histoire, ce qui permet � un auditeur ou � un musicien d�appr�cier un autre artiste si son message est profond et sinc�re, quel que soit le degr� de technique utilis�. C�est ce qui fait que j�ai autant de plaisir � �couter un bon vieux blues ou une sonate de Bach.
Depuis les ann�es 90, on te retrouve plus en avant dans un certain nombre de projets�
Ce qui se passe, c�est que mes collaborations sont devenues plus officielles. � un moment, j�ai demand� que ce soit dit. Avec Sting par exemple, j�ai co-�crit des morceaux, j�ai fait souvent des co-productions avec des gens sans que ce soit not� sur les pochettes. Et puis c�est vrai que r�cemment, il y a eu le duo avec Kenny Barron, c�est peut-�tre � �a que tu faisais allusion, un disque o� j�ai programm�, arrang� tous les morceaux, j�en ai �crit quelques-uns, choisi le studio, l�ing�nieur� C��tait un travail �norme, et effectivement plus officiel.
Tu es bien s�r en pleine tourn�e apr�s la sortie de ton album, mais quels sont les projets en cours?
Un autre album, bien s�r, mais pas tout de suite, et il y a aussi d�autres musiques de films, notamment un projet pour la Rain Forest, la d�fense de la for�t amazonienne avec les indiens Kayapo. Je discute �galement avec Laurent Garnier, on verra ce qu�il en advient. Je travaille pas mal avec les DJ en ce moment, je m�int�resse � beaucoup de choses. Je me suis retrouv� l�ann�e derni�re dans une rave avec deux amis, � nous trois, on explosait la moyenne d��ge (rires). Je me suis farci de la techno jusqu�� 8 heures du matin pour voir ce qui se passait. �a ressort un peu sur l�album, mais surtout sur sc�ne, on a des petites �pices par moments� La House, le Dub, tout �a m�int�resse. Il y a eu plein de mouvements, le rock, le reggae, le jazz un peu ; avec les mouvements actuels, Trip-hop, Dub, Techno, �a me fait vraiment plaisir de voir des gens s��clater, sans a priori, jaune, vert, noir, blanc, pas de plans drague tout ces trucs, c�est vraiment pour le plaisir. Je trouve �a fabuleux, c�est vraiment rare de voir un mouvement de cette envergure. Je vois des passionn�s fous de musique chez les DJ, et je crois qu�ils redonnent aux musiciens une perspective de la musique. C�est assez facile de sombrer dans un c�t� c�r�bral en musique, on travaille les gammes, les rythmes, on utilise tel accord� c�est super de chercher, fouiller, mais le discours est simple : �a doit toucher au c�ur, au plus profond de l��me. Tu peux le faire avec un renversement incroyable � la Herbie, et ceux qui ne le connaissent pas font sentir quelque chose sans m�me savoir quel accord c�est. Ceux qui connaissent vont �tre impressionn�s et les autres trouveront simplement �a beau. De la m�me fa�on, un DJ va faire un mix � un moment, �a peut �tre un coup de pot fabuleux comme un truc calcul�, il va se passer quelque chose d��tonnant, et je trouve int�ressant de se pencher sur �a. Tous ne sont pas bons, mais il y a vraiment des gens fabuleux.
Tu utilises beaucoup l��lectronique toi-m�me�
Absolument. Longtemps, j�ai �t� contre l��lectronique, et puis je me suis remis en question. Je n�aimais pas ce qui se faisait en �lectronique, surtout du c�t� des percussions, en fait je me suis aper�u que ce ne sont que des outils et qu�il suffit de les utiliser avec go�t. En fait, m�me si on est pur et dur, quand on �coute un piano sur un disque, il y a quand m�me eu un micro, une console, une s�ance de mastering, et dans ce cas, o� est la v�ritable acoustique ? En fait, avec l��lectronique associ�e � l�acoustique, on peut �tendre la palette vers les graves et les aigus, faire plein de choses int�ressantes. Quand en jazz, tu fais un trio avec le B3, l�orgue Hammond, �a a une puissance �norme, �a a la puissance du rock dans le jazz, il y a �galement le piano Fender Rhodes avec un son qui jusqu�� pr�sent n�a pas �t� remplac� C�est �� aussi l��lectronique. Un Wurlizer qui co�tait trois fois rien, c�est � la mode maintenant et �a co�te une fortune, �a n�est pas toujours tr�s juste mais �a a une vrai qualit� de son.
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Biographie succincte
Mino Cinelu est n� le 10 mars 1957 � Saint-Cloud. Avec un p�re chanteur et deux fr�res musiciens (Patrice, guitariste et Jean-Jacques, bassiste), il est baign� dans la musique d�s son enfance, et ne tarde pas � faire ses d�buts professionnels, � 14 ans. Pendant les ann�es 70, on le retrouve dans une pl��ade de formations, accompagnant aussi des chanteurs (Bernard Lavillier, Colette Magny). A la fin des ann�es 70, c'est l'installation � New York, o� il sera remarqu� par Miles Davis qu'il accompagnera sur plusieurs albums, puis par Joe Zawinul, ce qui lui vaudra d'�tre membre de Weather Report � partir de 1984. Mais on peut �galement citer "en vrac" Dizzy Gillespie, Peter Gabriel, Sting, Lou Reed, Herbie Hancock, Michel Portal, Bernard Lubat, et bien d'autres encore. Dans les ann�es 90, on continue de le voir jouer avec quantit� de musiciens, notamment sur des projets plus personnels comme l'album en duo avec Kenny Barron ou son album solo.
Discographie s�lective
Miles Davis - We want Miles 1982
Weather Report - Sportin' Life 1985
Weather Report - This is this 1986
Miles Davis - Star People 19
Michel Portal - Turbulence 1987
Sting - Nothing like the sun 1987
Kenny Barron / Mino Cinelu - Swamp Sally 1995
Mino Cinelu - Mino Cinelu 1999
Sur Internet
Le Monde Interactif, portrait de Mino Cinelu, 30 octobre 1999 |
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Mais qui est Fran�ois Kokelaere ?
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